L’article présenté sur Idealogeek.fr explique que l’UI Designer et l’UX Designer sont deux métiers complémentaires qui se chargent de l’expérience utilisateur et de l’interface utilisateur de sites web et d’applications mobiles. L’UX Designer a pour mission d’améliorer l’expérience utilisateur en prenant en compte les besoins des utilisateurs et en créant une interface agréable et intuitive, tandis que l’UI Designer se concentre sur l’amélioration de l’interface utilisateur pour rendre la navigation en ligne plus facile et intuitive. Les compétences clés pour réussir comme UX/UI Designer incluent la créativité, la collaboration en équipe, le sens de l’observation, ainsi que des compétences techniques. Les missions principales incluent l’identification des principaux enjeux d’une plateforme web, la réalisation d’études auprès des utilisateurs, et la création d’un storytelling qui correspond à l’image de marque de l’entreprise. En ce qui concerne les compétences techniques, les UX/UI Designer doivent maîtriser les outils de design les plus utilisés et être capable de travailler avec des développeurs pour créer des prototypes fonctionnels et des tests d’utilisabilité.
Le marché de l’emploi dans le monde de la tech connaît une pénurie de talents et une évolution des attentes des futurs salariés. Les candidats ont désormais le pouvoir de choisir leur employeur et exigent une offre différenciante avec des critères comme le télétravail, l’équilibre pro-perso, la reconnaissance, l’évolution, et la quête de sens. Les recruteurs doivent ainsi se réinventer pour réussir à attirer, retenir ou recruter les meilleurs profils. Certaines startups ont décidé de travailler sur une offre différenciante avec la flexibilité du travail, le partenariat avec une entreprise pour accompagner les salariés dans leur bien-être, ou encore le développement des compétences. Enfin, l’inclusion, au sens large du terme, prend tout son sens et son importance dans la reconversion de profils négligés.
Découvrez la cartographie des métiers du digital en 2023, avec une présentation des professions du marketing (community management, SEO et SEA, graphisme, e-commerce) et de la tech (développement web, systèmes et réseaux, data, cybersécurité…). Pour les métiers du marketing, on trouve notamment le responsable marketing digital, le responsable communication, le chargé de communication digitale et le Chief Digital Officer. Leurs rôles, missions et salaires sont exposés, avec des fourchettes allant de 26 000 € à plus de 85 000 € annuels. Téléchargez gratuitement le guide pour tout savoir sur les métiers du digital en 2023.
De nombreuses entreprises à travers le monde réduisent le temps de travail au bureau, à travers notamment la généralisation du télétravail, du flex-office et de la semaine des quatre jours. En France, 38% des salariés ont recours au télétravail et le flex-office est déjà présent dans une entreprise sur trois. Toutefois, cette tendance, qui s’accompagne souvent d’une perte de lien social en entreprise, suscite des interrogations quant au maintien d’un travail collaboratif et à la capacité des employés à nouer des relations sociales. Par exemple, une employée a témoigné que l’expérience de la semaine des quatre jours, avec deux jours en télétravail, ne lui a pas permis d’entretenir des relations sociales avec ses collègues : « Le temps du 100% présentiel me manque. », confie-t-elle.
Selon une étude de PageGroup sur les rémunérations en 2023, les pénuries de compétences et les tensions inflationnistes continueront à impacter les recruteurs dans les secteurs de l’informatique et du numérique. Les experts de la cybersécurité, les profils SAP, les experts en méthodologie agile, les DevOps et DevSecOps, et les experts en cloud seront les plus recherchés en 2023. Les salaires les plus élevés dans l’informatique et le numérique seront attribués aux chefs de projet, aux développeurs, aux ingénieurs data, aux administrateurs système et réseau, et aux consultants en cybersécurité. Dans les métiers du digital, les UI designers, UX designers, traffic managers, CRM managers, et data analysts percevront les plus hautes augmentations salariales. Enfin, les métiers rares et en plein essor comme le technicien en robotique, le concepteur d’objets connectés, ou l’ingénieur en cybersécurité industrielle auront un salaire compris entre 28 et 38K pour les jeunes diplômés et de 35 à 45K au bout de 5 ans d’expérience.
Le secteur du numérique est en pleine croissance et table sur la création de 1,75 million d’emplois en Europe d’ici les huit prochaines années. Pourtant, ce secteur manque de candidats alors que les métiers s’informatisent de plus en plus. Selon un sondage OpinionWay pour l’Ecole 42, bien que les métiers informatiques soient bien perçus par la population française, les clichés de ce secteur freinent les vocations. Pour pallier ce déficit, le gouvernement envisage de consacrer 2,5 milliards d’euros à la formation des talents de demain dans son plan « France 2030 ». Lire l’article
Le secteur de l’informatique rencontre des difficultés de recrutement croissantes, avec des délais allant jusqu’à 6 mois selon l’APEC. Les salaires sont la principale variable d’ajustement pour tenter de combler cette pénurie, mais les candidats sont devenus très exigeants et réclament des salaires mirobolants dès la sortie d’école. Les jeunes diplômés en data, en DevOps ou en cybersécurité peuvent ainsi obtenir des offres allant jusqu’à 45 000 à 48 000 euros bruts par an, près de 2000 euros de plus qu’en 2020. Les licornes, qui ont levé des fonds, font de la surenchère sur les salaires. Cependant, cela peut conduire les entreprises à revoir à la baisse leurs exigences et à recruter des profils moins expérimentés. Face à cette situation, les candidats sont aujourd’hui considérés comme de véritables rockstars, capables de ghoster les recruteurs et de poser des exigences de plus en plus élevées.
Cet article aborde quatre évolutions importantes dans le domaine du recrutement pour faire face à la pénurie de talents dans le secteur de la technologie. Il souligne que le marché de l’emploi dans ce domaine est en tension et en pleine évolution, ce qui pousse les recruteurs à se réinventer. Les points clés de l’article sont les suivants :
Le rapport de force a changé en faveur des candidats : Depuis la crise sanitaire, les candidats ont plus de pouvoir dans le processus de recrutement. Ils recherchent des avantages tels que le télétravail, un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, la reconnaissance, des opportunités d’évolution et une quête de sens dans leur travail.
Offre différenciante : Les entreprises, en particulier les start-ups, doivent se démarquer en proposant des avantages uniques pour attirer et retenir les meilleurs talents. Cela peut inclure la flexibilité du travail, des partenariats avec des entreprises axées sur le bien-être des employés, le développement des compétences, etc.
La fin du CV : Certaines entreprises, telles que Allistic, adoptent une approche plus ouverte en recrutant des profils en reconversion. Elles reconnaissent que les compétences peuvent être acquises et valorisent l’engagement et l’expérience opérationnelle des candidats. L’inclusion est également mise en avant, avec des initiatives visant à présenter des candidats pré-qualifiés sans se baser uniquement sur leur CV, afin de favoriser les échanges plus équitables et de mieux évaluer les « soft skills » tant recherchées.
L’importance de l’écosystème : L’article souligne l’importance de l’écosystème dans lequel évolue une entreprise lors du recrutement. Les initiatives d’accompagnement au recrutement, telles que l’événement Talent Fair organisé par EuraTechnologies, permettent aux acteurs du secteur de se rencontrer, d’apprendre et d’échanger, favorisant ainsi les relations entre les experts de la technologie, les dirigeants, les diplômés et les candidats qualifiés, ainsi que les entreprises, les start-ups, les universités et les centres de formation.
En résumé, cet article met en évidence les défis actuels du recrutement dans le secteur de la technologie et propose des évolutions clés pour faire face à la pénurie de talents, notamment en mettant l’accent sur les avantages offerts aux candidats, l’approche différenciée des entreprises, la remise en question du CV traditionnel et l’importance de l’écosystème dans le processus de recrutement.
Cabinet de chasseur de tête spécialisé dans les métiers de la communication et du marketing digital, K-Skills est confronté aux challenges d’une industrie bouleversée par la crise sanitaire. Point sur la situation avec Béatrice Lesueur, CEO du cabinet.
K-Skills est un cabinet de chasseur de tête spécialisé dans les métiers de la communication et du marketing digital basé à Luxembourg. Après une expérience de plus de huit ans comme Directrice des Ressources Humaines au sein de l’agence digitale Vanksen, Béatrice Lesueur, CEO du cabinet, a eu l’idée de lancer K-Skills à la suite d’un constat simple et récurrent: comment dénicher le bon profil dans un secteur en tension?
Une industrie bousculée par la crise sanitaire
En effet, recruter des talents dans une industrie en perpétuelle évolution n’est pas chose facile. La crise sanitaire a accéléré les besoins des entreprises dans leur transformation digitale, ce qui a engendré une offre bien supérieure à la demande. 70% des entreprises avouent rencontrer des difficultés à recruter dans les métiers du digital. À contrario, les Chief Marketing Officers, Digital Managers ou tout autre expert en Social Media, E-Reputation, UX, SEO… n’ont que l’embarras du choix pour trouver un employeur.
La valeur ajoutée de K-Skills réside dans la connaissance du marché, le conseil et l’accompagnement sur mesure proposés à nos clients comme à nos candidats.
La proposition de K-Skills
Chaque mission commence par la requalification du besoin client pour s’assurer que les critères du profil recherché soient bien en adéquation avec la réalité du marché: le mouton à cinq pattes n’existe pas et pourtant on nous en demande tous les jours! Raison pour laquelle nous sélectionnons nos missions pour en assurer la faisabilité et le succès. Parler le même langage est un gain de confiance, de temps et d’argent.
Nous recrutons essentiellement par approche directe, ce qui nous permet de sélectionner les meilleurs profils, que ce soit au Luxembourg ou au sein des pays frontaliers. Recruter un Responsable marketing bilingue allemand vous semble simple? Et pourtant, notre perle rare a été dénichée en Espagne.
Hard skills, soft skills ou mad skills?
La concurrence est de plus en plus rude et le rapport de force est clairement passé du côté des candidats. Il faut dorénavant réussir à les attirer en proposant une offre différenciante. On a beau parler de hard skills, de soft skills ou bien encore de mad skills: l’important dans un recrutement reste avant tout «l’humain».
À l’heure où l’IA connait une croissance exponentielle au sein des services de recrutement, K-Skills préfère se fier à ses valeurs et à son expérience. Nous attachons une importance particulière à la sélection de nos candidats afin de découvrir leurs souhaits, ambitions, personnalités… et surtout définir leur potentiel.
La clé de la réussite pour une relation «win-win»: écoute, confiance et sincérité!